Avec ses nombreuses options, l’assurance-vie est le moyen d’épargne privilégié des Français. Que le souscripteur survive ou pas, elle profite toujours à qui de droit. Voici ici tout ce que vous devez savoir sur l’assurance-vie. Lisez !
Les grands principes de l’assurance-vie
Avant tout propos, sachez que trois différents types de contrats d’assurance-vie sont proposés par les assureurs. Le premier est souscrit pour profiter au souscripteur en cas de survie. Cela s’inscrit donc dans un but de placement ou d’épargne. Il s’appelle assurance en cas de vie. Visitez le site ci-contre pour plus d’informations.
Le deuxième s’appelle assurance en cas de décès. Il profite au bénéficiaire désigné ainsi qu’à toute autre personne habilitée. C’est donc une garantie pour les proches de l’assuré. Le troisième et dernier type de contrat d’assurance est un contrat mixte, donc un mélange des deux premiers.
À travers le contrat, le versement d’un capital ou d’une rente est garanti au souscripteur ou au bénéficiaire qu’il a désigné. En outre, l’assuré peut choisir de souscrire son contrat d’assurance en euros. Dans ce cas, il bénéficie d’un capital garanti. En revanche, lorsqu’il choisit un contrat d’assurance en unité de compte ou en action, son capital varie selon les marchés.
Par ailleurs, il convient de savoir que tous les contrats d’assurance-vie doivent respecter les exigences du code des assurances. Ces derniers reposent en général sur les articles L131-1 et L132-1 dudit code.
Les avantages fiscaux d’une assurance-vie
L’assurance-vie est appréciée surtout pour ses nombreux avantages fiscaux. Lorsqu’un bénéficiaire est désigné au contrat d’assurance, la rente ou le capital versé rentre directement dans son patrimoine. De ce fait, il n’est pas soumis aux droits de succession. Néanmoins, s’il est réintégré à l’actif successoral, les droits de succession seront mis en œuvre.
En plus, la loi des finances a institué un prélèvement forfaitaire unique. L’intérêt étant de réduire la fiscalité des revenus des capitaux mobiliers et des plus-values mobilières. À défaut, le contribuable peut opter pour l’impôt sur le revenu. Cependant, lorsque l’encours total d’assurance n’atteint pas 150 000 euros, le prélèvement forfaitaire est maintenu.